Frêle Beau Friand

Il semblait fou faux frais fuyant

Et pourtant la vie coulait à travers  lui

Il semblait fou faux frêle fuyant

Et pourtant l’amour circulait en lui

Il semblait fou faux frêle fuyant

Et pourtant son cœur battait le temps

Il semblait fou faux frais fuyant

Et pourtant l’horloge du temps l’embrassait

Il restait là, beau et brillant

Ses grands yeux verts rayonnants

Il était l’eau la lune et le feu

Il était beau présent à sa maman

Qui le berçait faux frêle frais friand

Qui l’embrassait faux frêle frais friand

Qui lui chantait l’amour de ses instants

Qui lui dansait frêle beau friand

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