
Il nous faut repeupler les cimes des arbres, à la lueur du temps qui passe…
Portant le goût de dieu, l’odeur du sel oublié, celui de notre chère et tendre enfance, à l’heure où tout nous était simple et facile.
Joindre l’utile et l’agréable, se souvenir de notre innocence, l’incarner de nouveau sur terre, avec joie et amour.
Oui avec joie et amour ! Toujours, Toujours…
L’amour divin, Agapi, ne s’explique pas, il se ressent.
Agapi nous transfigure du soir au matin, de l’obscurité il nous propulse en une immense lumière.
Pure et incandescendente nous devenons, chair de notre chair.
L’enfantement divin né avec le jour…